LA COQUILLE VIDE

 

Quelques jours avant Pâques, par l’une de ces chaudes après midi de printemps que l’on apprécie tant dans les régions nordiques, une institutrice remit à chacun de ses élèves une grosse coquille d’œuf dont elle avait soigneusement vidé le contenu. Puis elle les fit sortir dehors pour chercher des éléments de la nature qui symbolisent la vie, qu’ils placeraient ensuite dans l’œuf.

 

Ils ne tardèrent pas à revenir. L’un avait mis un papillon, l’autre une fourmi, D’autres encore avaient placé des fleurs, des brindilles, ou des brins d’herbe. Mais l’une des coquilles était vide.

 

Tout le monde savait à qui elle appartenait : c’était celle d’un jeune garçon trisomique. Quelques uns rirent de son étourderie. La maîtresse lui demanda pourquoi il n’avait rien mis dans son œuf. Tranquillement il répondit : « Parce que la tombe était vide. »

Ce garçon avait perçu une vérité profonde. Pâques est plus qu’une célébration du cycle de la nature et de la vie qui renaît au printemps.

 

Les femmes qui se rendirent au tombeau de Jésus pour embaumer Son corps savaient bien qu’Il était mort. Les gardes romains ne leur jouaient pas des tours. Les femmes n’auraient jamais imaginé chose pareille. La tombe était vide parce que Jésus était ressuscité des morts.

 

Oui, Jésus est ressuscité d’entre les morts, et c’est un miracle plus formidable que le retour de la vie au printemps. Et le plus étonnant dans tout ça, c’est qu’Il a promis la résurrection à tous ceux qui mettraient leur confiance en Lui !

―David C. Egner

 

Je suis bien loin d’exagérer en affirmant que toutes les campagnes militaires et tous les exploits maritimes, tous les parlements et tous les monarques réunis, n’ont pas eu, sur la vie de l’homme ici-bas, l’impact qu’a eu cette simple vie, la vie de Jésus !

--James Allan Francis

 

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